NTANTA M.B. Josué Claude
mercredi 18 mars 2020
jeudi 28 novembre 2019
L'utilité des Mathématiques
"Les mathématiques servent à ...Cependant, elles peuvent aussi servir la cause de l'esthétique."
Josué Claude NTANTA M.B.
vendredi 31 octobre 2014
dimanche 14 octobre 2012
Une Pause
Nous présentons nos excuses auprès des visiteurs de ce blogue, pour la non régularité des publications. Ceci est dû aux multiples occupations qui ne nous accordent pas assez de temps pour ce faire. Néanmoins soyez rassurés: dès que possible, nous serons à nouveau à votre service.
jeudi 3 mai 2012
A l’occasion de la journée nationale de l’enseignement du 30 avril 2012.
Le 30 avril de chaque année est voué à l’enseignement sur le plan national. C’est pour ainsi dire une occasion pour évoquer et faire le point de ce sujet oh ! Combien utile pour le devenir de notre nation. Toutes les disciplines scientifiques devront, à cet effet, être mises en évidence pour se rendre compte de leurs états respectifs d’enseignements. Bien entendu, celle des mathématiques y compris. Celles-ci constituent un domaine de connaissance à part entière mais qui démontre son efficacité de par ses applications dans bon nombre des sciences, la physique, la biologie, la chimie, l’économie, la médecine, l’ingénierie et plus encore. La nécessité de développement des compétences mathématiques, quelques soient les disciplines scientifiques n’est plus à démontrer. C’est à juste titre, d’ailleurs, que les mathématiques sont considérées comme étant un pilier de développement des Sciences modernes.
En ce jour de célébration de l’enseignement national, une question parmi tant d’autres mérite d’être posée : Qu'en est-il de l’enseignement des mathématiques dans la République Démocratique du Congo ? Une question dont la réflexion pour une tentative de réponse suscite, pour le moins, plusieurs autres questions. L’enseignement des mathématiques, même élémentaires, s’effectue-il comme il se doit à tous les niveaux (primaire, secondaire et supérieur) ? Les conditions des enseignements sont-elles favorables pour les enseignants et les enseignés ? Quel est le niveau des enseignements des mathématiques ? Est-il élevé ? Quelles sont les proportions des écoliers, des élèves et des étudiants qui assimilent bien les connaissances mathématiques apprises ? Sommes-nous en mesure de faire face aux besoins d’enseignants de mathématiques ? Les enseignants des mathématiques parviennent-ils à capter réellement l’attention des enseignés ? Autrement dit, les enseignants des mathématiques sont-ils à la hauteur de leurs tâches respectives ? Telles que les notions des mathématiques sont enseignées, les apprenants pourront –ils s’en servir le cas échéant ? A la fin de cette année scolaire 2011-2012, quel en sera le résultat par rapport aux objectifs ? …
Avouons-le, passer en revue ce sujet entraîne une suite des questions auxquelles il faudra répondre pour assurer une marche de la nation vers des lendemains meilleurs. Notre contribution en ce jour mémorable réservée à l’enseignement, nous la voulons d’éveil de conscience face à la situation qui prévaut. Nous souhaitons que l’opinion ainsi que l’autorité publique se rendent compte effectivement qu’il y a péril en la demeure car la catastrophe est imminente. La régression en matière d’enseignants des mathématiques est plus qu'alarmante. En effet, sur base des renseignements recueillis, il y a de quoi avoir des tournis ou se prendre la tête à deux mains. Tenez, à titre illustratif, pour l’année académique 2011-2012 en cours, « l’Université Pédagogique Nationale (UPN) devra diplômer en mathématiques au plus sept candidats. Et c’est toutes options confondues, mathématiques pures et mathématiques appliquées. Tandis que l’ISP Kikwit, devra produire une vingtaine d’agrégé en pédagogie option mathématiques. Par contre, en premier graduat Math physique de l’UPN, aucun inscrit n’a été enregistré, tout comme l’année académique 2010-2011». Disons-le, pour un pays reconnu aux dimensions sous continentales, les perspectives qui s’annoncent ne sont pas les meilleures. Faire le point de la situation, doit nous amener à débattre de vrais problèmes en explorant les enjeux, la responsabilité nous incombe à notre humble avis. En d’autres termes, nous devons recenser les problèmes qui se posent, identifier les causes, dénoncer ce qui doit l’être, enfin nous engager en prenant des bonnes résolutions et des décisions nouvelles et courageuses à même de redresser la situation. Sinon c’est hypothéquer le développement du pays.
Nous insistons : « les mathématiques sont largement appliquées dans plusieurs secteurs de la vie humaine. Leurs importances s’expérimentent au quotidien dans les pays développés tout comme en voie de développement dans bien des réalisations ». Un déficit en ce qui concerne les compétences liées à cette discipline pour les jeunes qui sont appelés à s’assumer demain pour notre pays ne doit pas être négligé mais plutôt combattu à tous les niveaux. Notre appel est qu’un chacun apporte sa contribution pour faire face à cette périlleuse situation. Nous constatons, avec satisfaction du reste, que l’humanité s’est mobilisée pour protéger l’espèce animale en voie de disparition suite à l'activité excessive des braconniers. Mais le cas que nous évoquons dans ce billet concerne une catégorie professionnelle appelée à jouer un rôle clé dans l’acquisition des connaissances et de surcroît des capacités dont le pays en a besoin. Quoi de plus normal que de nous mobiliser davantage si nous tenons à un avenir pour la RDC. Par cette sonnette d’alarme, tirée à travers ces quelques lignes, nous aimerions que son écho retentisse le plus loin possible afin que la mobilisation soit tout azimut.
Nous saisissons la balle au bond pour souhaiter bonne fête à tous les enseignants du pays en dépit de leurs situations sociales précaires. Gardons tout de même l’espoir. En particulier, nous saluons et nous encourageons tous ceux qui s’adonnent à cœur joie au noble métier d’enseignant des mathématiques, à l’instar de monsieur MBIKAYI ci-dessous, professeur des mathématiques du secondaire, au Groupe Scolaire du Mont Amba (GSMA) de l’Université de Kinshasa, que nous avions surpris en pleine séance de cours, un jour de cette année scolaire finissante.
mardi 15 mars 2011
Passage de témoins
L e mercredi 09 mars 2011, il s’est tenue au pool informatique de la faculté des lettres et sciences humaines de l'Université de Kinshasa, la remise et reprise entre le responsable de formation du projet du BACKBONE UNIKIN que nous étions et le Chef de travaux Yvon MWENGUE, le nouveau responsable de formation. C’est suite à la décision rectorale datant de la semaine du 01 mars 2011. Le passage de témoins s’est fait en présence du commandant de la police universitaire, monsieur TSHILOMBO ainsi que l’ancien responsable des pools informatique, monsieur l’ingénieur Prosper MALONDA. Nous avons souhaité à notre successeur « bon vent et bonne mer ».
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